Un truc que les gens pauvres n’ont pas à nous envier. Colette. Repère de jeunes et moins jeunes en mal de branchitude arpentant désespérément les étalages du magasin parisien à la recherche de la pièce même pas originale mais dont l’objectif principal est de les démarquer du peuple. Tracer les limites de son réseau communautaire, tel est l’objectif premier qu’il recherche. Cela passe par la contemplation de croutes se revendiquant artistiques par l’oeil vide plein d’admiration. Passons.
Une trouvaille qui mérite qu’on s’y arrête une seconde. Evidemment l’unicité du produit – et encore, recherche il y a à faire – se paie par le prix largement exorbitant pour ce qui est proposé. Néanmoins, sans solvant, ni acétone, ni ethyl acétate, ce dissolvant serait le seul qui puisse dignement porté le label bio.
Santé et préservation de l’épiderme pour un prix total de 33 euros.
Agathe
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