Jeudi 13 janvier 2011 : je me lève avec la furieuse envie d’en découdre avec les soldes. Ayant volontairement évité la fureur du premier jour, cette seconde journée doit être la mienne.
Déjeuner avalé, je décampe direction rivoli à la recherche de ce fabuleux sac aperçu chez Zara et lorgné du coin de l’oeil toute la saison durant, et en quête de quelconque victuailles visant à renflouer mon dressing.
Après deux heures et 17 minutes de recherches ardues, bredouille et énervée, je me dirige vers le bus le plus proche et me rends sur le boulevard Hausmann, dernier recours pour espérer rentrer à la maison avec du gibier mode.
Je vous laisse découvrir mon « butin » :
Imaginez mon désarroi. Finir à Franprix un jour de soldes. C’est pourquoi je me tourne vers vous. Vous connaissez le vieil adage, c’est quand l’objet du désir n’est plus à porté de main qu’il devient l’objet du tourment. Je ne pense plus qu’à lui, en ce jeudi soir. L’objet de mon tourment le voici.
C’est ce sac Zara, indisponible, introuvable. C’est pourquoi je me vois réduite à lancer un avis de recherche. Autant vous dire que celui qui saura m’aiguiller pour le retrouver, voir me céder ce sac contre un petit pécule aura ma reconnaissance éternelle. Sur ce je vous laisse et retourne à ma mélancolie de matérialiste contrariée.
Agathe
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