Le lurex est sans aucun doute la tendance qui tient bon, même si elle a du mal à percer. Deuxième saison qu’il fait irruption de ci de là, sans trop convaincre. Ici porté en robe et légèrement accessoirisé, il fait son petit effet.
Deux bonnes pièces mais qui se suffirait à elles-mêmes. Le noeud tout d’abord, ou touche de féminité un rien enfantine est porté sur la tête et habille un chignon discret. Seconde tendance : la robe brocard inspiré de la cour de Versailles du 18ème. Volumes & fronces flattent une silhouette filiforme avec un brin de fantaisie.
Caroline de Maigret, en bonne aristocrate, adopte un look simple et chic. Chemise blanche et pantalon fluide sont suffisant pour mettre en valeur sa silhouette de mannequin. Si son visage vous dit quelque chose, c’est que vous l’avez certainement repéré dans les pages mode du vépéciste La Redoute.
Légère connotation boubou africain, le collaborateur d’Anna Wintour a un look bien a lui et associe derbies en croco et tailleurs au pantalon large et à la veste ultra longue. Ici en uni, mais parfois plus excentrique voir en total imprimé Vuitton. Peu peuvent oser, lui oui car à silhouette imposante, look imposant.
Cette chemise à l’imprimé hétéroclite sème le doute. On espère vivement qu’elle ne fera pas d’émules.
S’il est certain que le tartan reviendra cet hiver, CF. pantalon fluide vu chez Etro, il n’est pas sur qu’il s’imposera de nouveaux. Il est vrai qu’il fait figure d’annonciateur de la saison froide et nous revient à chaque automne depuis une bonne décennie maintenant. Verdict bientôt.
Look de Pierrot pour la collaboratrice d’Anna Wintour chez Vogue. Look qui lui va si bien et la transfigure en véritable personnage à la chevelure rousse hirsute.
Le total look blanc vu sur bon nombre de célébrités mais qui n’a pas convaincu la majorité d’entre nous, la plèbe. Il faut dire qu’un teint impeccable doit accompagner cette tenue, le blanc apportant une lumière crue sur la peau.
Si le noir & le blanc sont des tonalités très Chanel, cette version plus jeune du look Pierrot, également adopté par Alexa Chung (plus bas) peut vite lasser surtout quand plus de trois invitées le porte. Pourquoi ne pas avoir osé la couleur ?
Mémento : penser à l’éventail pour nos vieux jours. Les tongs sont par contre aussi prohibé sur un trottoir en pleine ville qu’à un défilé de mode, et cela peut importe le prix qu’ils ont coûté.
Dombasle : poser pour les photographes est aussi l’un de ses métiers et choisir son partenaire sur la photo une priorité. Ici jouer l’ultra décalage avec un chippendale ou wanna be pour mettre en valeur un corps frêle et fragile.
Il y a des classiques immuables. La robe léopard en fait partie.
Bonne pioche que cette veste en tweed perlées de la Maison sur une tenue à l’immaculé modéré par une robe grise portée en dessous.
Simple mais efficace : le chapeau rond + la robe noire aux boutons joaillerie. Splendide. Sans le chapeau cela aurait été tout aussi bien.
Charlotte Casiraghi reste fidèle à ses habitudes monégasque et en fait le moins possible. Paire d’escarpins bouche rouge & robe noire à paillettes. Peut mieux faire.
Wintour ne quitte plus ses tailleurs Chanel depuis son entrée chez Vogue. La question est, s’il y a un après Vogue, les gardera – t- elle ?
Il fallait oser. La robe longue imprimée en transparence. Risqué mais réussi. 10/10.
Le comble du chic restera le pied nu dans la derbie. Le joli pied entendons nous là, à cheville épilée et ongles polis. L’important n’étant pas de le montrer, l’ongle, ou le talon tout doux, mais de l’avoir pour se sentir tel.
Mauvais choix pour Anna Mouglalis : robe trop longue trop blanche pas assez échancrée ni assez marquée à la taille. Autant ne pas s’attarder dessus. Nous avait habitué à mieux.
La robe lurex x2. Toujours pas décidée à épiler ses gros sourcils, Caroline Roitfiel, deuxième ambassadrice pour tendance qui convainc peut. Espérons qu’elle séduise. A ses côtés, une égérie possible pour l’esprit très futuriste de la Maison McQueen !
Milla Jovovitch qui s’est plutôt bien remise de sa grossesse porte une magnifique jupe en brocard dorée auquel un débardeur blanc rentré dans la jupe ne vole pas la vedette. En bonne modeuse elle n’a pas oublié ses classiques : less is more.
Une bonne nouvelle : Baptiste Giabiconi s’est délesté d’un bon nombre de ses bijoux pour quelques bracelets toujours moins imposants que lorsqu’il portait une bague à chaque doigt. Esprit Lagerfeld oblige. Montre masculine Dolce Gabanna et chaussures Timberland finissent de faire de lui un mâle. Reste l’étole multicolore. On ne se refait pas.
Agathe
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